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Écrit par : Unesante.com

Catégorie : Symptômes

Publication : 19 décembre 2024

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Voici une liste étendue des maladies et conditions associées aux crampes menstruelles ou dysménorrhée, regroupées par catégories :

1. Conditions gynécologiques courantes

• Dysménorrhée primaire (crampes menstruelles sans maladie sous-jacente)
• Endométriose
• Adénomyose
• Fibromes utérins
• Polypes utérins
• Syndrome prémenstruel (SPM)
• Syndrome des ovaires polykystiques (SOPK)

2. Infections pelviennes

• Maladie inflammatoire pelvienne (MIP)
• Salpingite (inflammation des trompes de Fallope)
• Endométrite infectieuse
• Infections sexuellement transmissibles (IST) (notamment gonorrhée et chlamydia)

3. Troubles hormonaux

• Hyperprostaglandinémie (excès de prostaglandines déclenchant des contractions utérines)
• Déséquilibre hormonal (ex. : dominance œstrogénique)
• Hypothyroïdie (impact sur les cycles menstruels)
• Hyperthyroïdie

4. Troubles structurels et malformations

• Sténose cervicale (rétrécissement du col de l’utérus)
• Utérus rétroversé
• Malformations utérines congénitales (ex. : utérus bicorne, cloisonné)
• Adhérences intra-utérines (syndrome d’Asherman)

5. Conditions systémiques ou inflammatoires

• Maladies inflammatoires chroniques (ex. : lupus, polyarthrite rhumatoïde)
• Syndrome du côlon irritable (SCI) (souvent exacerbé pendant les menstruations)
• Maladie cœliaque (non traitée, impact hormonal possible)

6. Causes liées aux contraceptifs ou dispositifs intra-utérins

• Dysménorrhée secondaire à un DIU (dispositif intra-utérin)
• Arrêt ou modification des contraceptifs hormonaux

7. Conditions associées à des douleurs pelviennes chroniques

• Syndrome de congestion pelvienne
• Douleurs neuropathiques pelviennes
• Syndrome myofascial pelvien

8. Tumeurs et masses pelviennes

• Kystes ovariens (fonctionnels, dermoïdes ou endométriosiques)
• Tumeurs ovariennes (bénignes ou malignes)
• Tumeurs utérines (ex. : léiomyomes)

9. Complications liées à la grossesse ou à l’implantation

• Grossesse extra-utérine
• Fausse couche précoce
• Grossesse chimique
• Décollement trophoblastique

10. Conditions neurologiques ou psychologiques

• Hyperactivité du nerf pelvien
• Syndrome de stress chronique (amplifiant la perception de la douleur)
• Troubles anxieux ou dépressifs (interférant avec la gestion de la douleur menstruelle)

11. Facteurs aggravants ou environnementaux

• Mauvaise hydratation (amplifiant les crampes)
• Carence en magnésium ou en vitamine B6
• Stress ou fatigue excessive

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Voici une liste étendue des maladies et conditions associées aux crampes musculaires, regroupées par catégories :

1. Troubles neurologiques

• Sclérose latérale amyotrophique (SLA)
• Maladie de Parkinson
• Neuropathie périphérique
• Radiculopathie (compression nerveuse dans la colonne vertébrale)
• Syndrome des jambes sans repos
• Syndrome de Guillain-Barré
• Crampes fasciculations bénignes
• Myélopathie cervicale

2. Troubles musculaires

• Myopathies inflammatoires (dermatomyosite, polymyosite)
• Myopathies métaboliques (maladie de Pompe, glycogénose)
• Dystrophies musculaires (Duchenne, Becker)
• Rhabdomyolyse (dégradation musculaire sévère)
• Syndrome de fatigue musculaire chronique

3. Troubles métaboliques et électrolytiques

• Hypocalcémie
• Hypercalcémie
• Hypomagnésémie
• Hypokaliémie
• Hyperkaliémie
• Hyponatrémie
• Hypernatrémie
• Insuffisance rénale chronique (encéphalopathie urémique avec crampes)

4. Maladies endocriniennes

• Diabète (avec neuropathie diabétique)
• Hypothyroïdie
• Hyperthyroïdie
• Hyperparathyroïdie
• Maladie d’Addison

5. Troubles vasculaires

• Insuffisance veineuse chronique
• Maladie artérielle périphérique
• Syndrome du compartiment chronique
• Thrombose veineuse profonde (TVP)
• Maladie de Raynaud

6. Causes médicamenteuses et toxiques

• Statines (crampes musculaires comme effet secondaire)
• Diurétiques (perte d’électrolytes provoquant des crampes)
• Corticostéroïdes
• Quinidine et quinine (paradoxe : utilisées pour traiter les crampes, mais peuvent en provoquer)
• Sevrage alcoolique
• Intoxication par les métaux lourds (plomb, mercure)

7. Maladies héréditaires et génétiques

• Syndrome d’hyperexcitabilité nerveuse
• Syndrome de crampe et fasciculation
• Maladie de Charcot-Marie-Tooth
• Syndrome de McArdle

8. Conditions inflammatoires et auto-immunes

• Lupus érythémateux disséminé (LED)
• Polyarthrite rhumatoïde
• Syndrome de Sjögren
• Vascularites systémiques

9. Maladies infectieuses

• Tétanos (spasmes musculaires douloureux)
• Poliomyélite
• Infections virales avec myalgies associées (grippe, dengue, Zika)
• Myosite infectieuse (bactérienne ou virale)

10. Causes mécaniques et traumatiques

• Surcharge musculaire (exercice intense ou prolongé)
• Déshydratation
• Compression nerveuse locale
• Traumatismes musculaires ou ligamentaires

11. Conditions liées à l’âge ou à des troubles chroniques

• Crampes nocturnes idiopathiques (plus fréquentes chez les personnes âgées)
• Sarcopénie liée à l’âge
• Fibromyalgie (douleurs et crampes diffuses)

12. Autres causes

• Grossesse (surtout au 2ᵉ et 3ᵉ trimestre)
• Syndrome d’hyperventilation
• Carences nutritionnelles (magnésium, calcium, potassium, vitamines B1 et B6)
• Exposition prolongée au froid

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Voici une liste étendue des maladies et conditions associées à la cyanose (coloration bleue de la peau, des muqueuses ou des extrémités), regroupées par catégories :

1. Maladies cardiovasculaires

• Maladies cardiaques congénitales
  • Tétralogie de Fallot
  • Transposition des gros vaisseaux
  • Syndrome du cœur hypoplasique gauche
  • Tronc artériel commun
  • Atrésie pulmonaire
  • Communication interauriculaire ou interventriculaire importante
• Insuffisance cardiaque congestive
• Choc cardiogénique
• Embolie pulmonaire massive
• Cardiomyopathie restrictive ou hypertrophique
• Insuffisance mitrale ou tricuspide sévère

2. Maladies respiratoires

• Broncho-pneumopathie chronique obstructive (BPCO)
• Asthme sévère non contrôlé
• Syndrome de détresse respiratoire aiguë (SDRA)
• Emphysème pulmonaire
• Pneumonie sévère
• Fibrose pulmonaire idiopathique
• Embolie pulmonaire
• Pneumothorax
• Atélectasie (affaissement d’une partie du poumon)
• Apnée obstructive du sommeil sévère

3. Maladies hématologiques

• Méthémoglobinémie (acquise ou congénitale)
• Sulfhémoglobinémie
• Polyglobulie (compensation d’une hypoxémie chronique)
• Anémie sévère (rarement cause de cyanose, mais possible si combinée avec une hypoxie)

4. Maladies neurologiques et musculaires

• Syndrome de Guillain-Barré (atteinte des muscles respiratoires)
• Sclérose latérale amyotrophique (SLA)
• Myasthénie grave (crise myasthénique avec insuffisance respiratoire)
• Dysfonction du tronc cérébral (paralysie des centres respiratoires)

5. Troubles métaboliques et intoxications

• Hypoxémie sévère (diminution de l’oxygène dans le sang)
• Hypothermie (réduction du débit sanguin périphérique)
• Intoxication au monoxyde de carbone (CO) (coloration "rouge cerise", mais parfois perçue comme cyanotique)
• Intoxication aux nitrates ou nitrites (provoquant une méthémoglobinémie)
• Acidose métabolique sévère

6. Maladies vasculaires

• Maladie de Raynaud (cyanose transitoire des extrémités)
• Thrombose veineuse profonde sévère (compromettant le retour veineux)
• Syndrome de l'embolie graisseuse
• Syndrome de la veine cave supérieure
• Maladie thromboembolique chronique

7. Maladies congénitales et génétiques

• Syndrome d'Eisenmenger (complication des cardiopathies congénitales non corrigées)
• Fibrose kystique (mucoviscidose)
• Déficit en alpha-1 antitrypsine (avec atteinte pulmonaire)
• Syndromes liés à des anomalies du transport de l’oxygène

8. Causes environnementales ou iatrogènes

• Hypoxie d’altitude
• Asphyxie (noyade, strangulation, inhalation de fumée)
• Hypoventilation due à une overdose médicamenteuse (opioïdes, sédatifs)
• Effets secondaires de médicaments (provoquant une méthémoglobinémie, ex. : dapsone, anesthésiques locaux)
• Intoxication par des produits chimiques (benzène, aniline)

9. Conditions spécifiques des nouveau-nés et des nourrissons

• Maladie des membranes hyalines (détresse respiratoire néonatale)
• Persistance du canal artériel avec syndrome hypoxémique
• Syndrome d’aspiration méconiale
• Cyanose paroxystique chez le nouveau-né (associée à des malformations cardiaques ou pulmonaires)

10. Cyanose périphérique uniquement

• Insuffisance veineuse chronique
• Choc hypovolémique
• Vasoconstriction liée au froid
• Débit cardiaque réduit

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Voici une liste étendue des maladies et conditions associées à la décoloration de la peau (hypopigmentation ou hyperpigmentation), regroupées par catégories :

1. Troubles de la pigmentation

• Vitiligo (perte de mélanine, provoquant des plaques dépigmentées)
• Albinisme (trouble génétique avec absence totale ou partielle de mélanine)
• Pityriasis versicolor (infections fongiques provoquant des taches hypo ou hyperpigmentées)
• Mélasma (hyperpigmentation faciale souvent liée aux hormones)
• Ephélides (taches de rousseur)
• Lentigos solaires (taches brunes liées à l'exposition au soleil)
• Chloasma (souvent lié à la grossesse ou à la contraception hormonale)

2. Maladies auto-immunes

• Lupus érythémateux cutané (plaques hyper ou hypopigmentées dues à l'inflammation)
• Sclérodermie localisée (morphea)
• Dermatomyosite
• Maladie de Graves (hyperpigmentation des zones exposées)
• Maladie d'Addison (hyperpigmentation diffuse, notamment des plis cutanés)

3. Infections

• Pityriasis alba (plaques blanchâtres souvent chez les enfants après une dermatite)
• Lèpre (zones hypo ou anesthésiques)
• Syphilis secondaire (plaques hyperpigmentées ou dépigmentées)
• Tinea corporis (teigne, provoquant des plaques circulaires)
• Post-inflammatoire (hyperpigmentation après une infection)

4. Troubles endocriniens et métaboliques

• Maladie d'Addison (hyperpigmentation des muqueuses et des zones exposées)
• Diabète sucré (hyperpigmentation autour du cou ou des aisselles : acanthosis nigricans)
• Syndrome de Cushing (hyperpigmentation localisée due à une surproduction de mélanocortine)
• Hémochromatose (hyperpigmentation bronzée due à l’accumulation de fer)
• Hypothyroïdie (hyperpigmentation dans certaines zones)

5. Troubles inflammatoires et dermatologiques

• Eczéma ou dermatite atopique (plaques hypo/hyperpigmentées après inflammation)
• Psoriasis (zones de dépigmentation après une poussée)
• Lichen plan (zones hyperpigmentées après guérison des lésions)
• Dermatite de contact (hypopigmentation ou hyperpigmentation post-inflammatoire)

6. Maladies génétiques ou héréditaires

• Syndrome de Peutz-Jeghers (hyperpigmentation sur les lèvres et les muqueuses buccales)
• Syndrome de Bloom (hyperpigmentation due à une fragilité chromosomique)
• Syndrome de Waardenburg (hypopigmentation associée à des anomalies auditives)
• Neurofibromatose de type 1 (taches café-au-lait)
• Xeroderma pigmentosum (hyperpigmentation liée à une sensibilité aux UV)

7. Maladies vasculaires ou hématologiques

• Purpura pigmentaire (décoloration due à des dépôts d’hémosidérine)
• Syndrome post-thrombotique (hyperpigmentation des jambes)
• Anémie ferriprive sévère (pâleur de la peau)
• Insuffisance veineuse chronique (hyperpigmentation brune autour des chevilles)

8. Cancers cutanés et pré-cancers

• Mélanome (zone hyperpigmentée, souvent irrégulière)
• Kératose actinique (hyperpigmentation dans les zones exposées au soleil)
• Carcinome basocellulaire pigmenté
• Lentigo malin

9. Intoxications et médicaments

• Amiodarone (hyperpigmentation gris-bleu sur les zones exposées au soleil)
• Chimiothérapie (hyperpigmentation diffuse ou localisée)
• Minocycline (hyperpigmentation grisâtre)
• Intoxication au mercure (décoloration)
• Argyrie (coloration gris-bleu de la peau due à l’argent)

10. Causes environnementales

• Exposition prolongée au soleil (lentigos, hyperpigmentation)
• Traumatisme cutané (hyperpigmentation ou dépigmentation post-inflammatoire)
• Brûlures ou engelures

11. Conditions liées à l’âge ou aux hormones

• Hyperpigmentation liée à la grossesse (masque de grossesse ou chloasma)
• Hypopigmentation liée au vieillissement (hypomélanose idiopathique goutteuse)

12. Autres causes

• Déficience en vitamine B12 (hyperpigmentation des mains et des pieds)
• Décoloration post-inflammatoire (liée à l’acné, aux piqûres d’insectes, ou aux brûlures)
• Tatouages traumatiques (dépôts de pigment sous-cutanés)