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Absence de règles
Alopécie, chute de cheveux ou de poils
Anales, démangeaisons (prurit anal)
Anisocorie ; Pupilles inégales
Anxiété
Ataxie (troubles de coordination)
Ballonnements
Bouffées de chaleur
Boule dans la gorge, sensation de bolus
Bourdonnements (acouphènes)
Céphalées
Changements de personnalité et de comportement
Constipation
Convulsions ou crises d’épilepsie
Corps flottants
Crampes menstruelles (dysménorrhée)
Crampes musculaires
Cyanose (coloration bleue de la peau)
Décoloration de la peau (hypo/hyperpigmentation)
Démangeaisons (prurit)
Dépression
Diarrhée
Difficulté à avaler (dysphagie)
Diminution de la libido
Douleur abdominale chronique
Douleur dans les membres
Douleur dans l’hypochondre droit
Douleur mammaire
Douleur oculaire
Douleur ou brûlure lors de la miction (dysurie)
Douleur ou gonflement des testicules
Douleurs articulaires (arthralgies)
Douleurs articulaires : Articulation unique (douleur monoarticulaire)
Douleurs articulaires : Plusieurs articulations (douleur polyarticulaire)
Douleurs auriculaires (otalgies)
Douleurs cervicales
Douleur scrotale
Douleurs diffuses ou myalgies
Douleurs localisées (abcès)
Douleurs lombaires
Douleurs musculaires (myalgies)
Douleurs neuropathiques
Douleurs oculaires
Douleurs pelviennes
Douleurs pelviennes en début de grossesse
Douleur thoracique
Douleur thoracique lors de la respiration (pleurésie)
Dysfonction érectile
Dyspepsie, indigestion
Dysphagie, Troubles de la déglutition, difficultés à avaler
Ecchymoses et hémorragies
Écoulement du mamelon
Écoulement nasal (rhinorrhée)
Engourdissement
Engourdissements ou picotements (paresthésies)
Érection persistante (priapisme)
Éruptions cutanées (rougeurs, plaques, pustules, etc.)
Essoufflement (dyspnée)
Étourdissements et vertiges
Étourdissements ou sensation de vertige en se levant (Hypotension orthostatique)
Évanouissement (Syncope)
Expectoration (colorée, sanglante, ou purulente)
Faiblesse généralisée
Faiblesse musculaire (parésie)
Fatigue (asthénie)
Fièvre
Fièvre, aiguë, chez les adultes
Fièvre chez les nourrissons et les enfants (fièvre, chronique, ou FUO)
Fièvre récurrente
Fréquence accrue des mictions (pollakiurie)
Frissons
Ganglions lymphatiques enflés (adénopathies)
Gaz
Gonflement des ganglions lymphatiques (Lymphadénopathie)
Gonflement des membres
Gonflement des paupières
Gonflement du scrotum
Gonflement (œdème)
Grosseur dans le cou
Hallucinations ou délires
Hirsutisme, Pilosité excessive
Hoquet
Hypoesthésie (diminution de la sensibilité)
Incontinence urinaire
Incontinence urinaire chez l’adulte
Incontinence urinaire chez les enfants (énurésie)
Inflammation des articulations (arthrite)
Insomnie et somnolence diurne excessive
Insomnie ou hypersomnie
Intolérance au froid ou à la chaleur
Irritabilité ou agressivité
Jaunisse chez l’adulte
Jaunisse (ictère)
Larmoiement des yeux
La toux chez l’enfant
Malaise général
Maux de gorge
Maux de tête (céphalées)
Miction, Douleur et sensation de brûlure à la (dysurie)
Miction, excessive ou fréquente (polyurie)
Nausées et vomissements
Nausées et vomissements chez l’adulte
Nausées et vomissements chez les nourrissons et les enfants
Nausées et vomissements en début de grossesse
Nodules mammaires
Œdème des membres inférieurs
Œdème en fin de grossesse (gonflement)
Otalgie (douleur auriculaire)
Otorrhée (écoulement auriculaire)
Palpitations
Paralysie
Peau sèche ou squameuse
Perte auditive
Perte auditive : Surdité brusque
Perte d’appétit (anorexie)
Perte de conscience ou évanouissements (syncope)
Perte de l’odorat (anosmie)
Perte de mémoire (amnésie)
Perte de poids inexpliquée
Perte de vision aiguë
Perte ou prise de poids inexpliquée
Photophobie (sensibilité à la lumière)
Plaies qui ne guérissent pas
Pleurs
Protrusion du globe oculaire (proptose ou exophtalmie)
Prurit
Raideur matinale
Règles irrégulières ou absentes (aménorrhée)
Régurgitations ou reflux acide
Respiration sifflante (wheezing)
Rétention urinaire
Rigidité musculaire
Ronflement
Ronflements ou apnées nocturnes
Rougeur des yeux (yeux rouges)
Rougeurs ou sécrétions oculaires
Saignement de nez (épistaxis)
Saignement gastro-intestinal
Saignements vaginaux anormaux
Saignements vaginaux en début de grossesse
Saignements vaginaux en fin de grossesse
Sécheresse vaginale
Selles sanglantes ou noires (méléna)
Sifflement
Soif excessive (polydipsie)
Sperme, Sang dans le (hémospermie)
Stridor
Sueurs nocturnes
Syncope d’effort ou au repos
Tintement ou bourdonnement d’oreille (acouphène)
Toux chez les adultes
Toux sanglante (hémoptysie)
Toux (sèche ou productive)
Tremblements
Troubles de la mémoire
Troubles de l’équilibre
Urines abondantes (polyurie)
Urine, Sang dans (hématurie)
Urines foncées
Urines troubles, sanglantes ou malodorantes
Urticaire
Vertiges
Vision double (diplopie)
Vision floue
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L'absence de règles (aménorrhée) peut être liée à plusieurs maladies ou conditions médicales, telles que :
- Syndrome des ovaires polykystiques (SOPK) : Une condition hormonale fréquente qui peut entraîner une aménorrhée, des ovaires polykystiques et des niveaux élevés d'androgènes.
- Troubles hormonaux :
- Hypothyroïdie : Une production insuffisante d'hormones thyroïdiennes peut perturber le cycle menstruel.
- Hyperthyroïdie : Une production excessive d'hormones thyroïdiennes peut aussi entraîner l'aménorrhée.
- Insuffisance ovarienne prématurée : Une défaillance des ovaires avant 40 ans, empêchant la production normale d'hormones et la menstruation.
- Anorexie ou troubles alimentaires : Les déséquilibres nutritionnels graves peuvent perturber le cycle menstruel et entraîner l'aménorrhée.
- Stress ou troubles émotionnels : Un stress physique ou psychologique important peut entraîner des troubles hormonaux et des menstruations irrégulières ou absentes.
- Prolactinome : Une tumeur bénigne de l'hypophyse qui augmente la production de prolactine, une hormone qui peut inhiber l'ovulation et la menstruation.
- Syndrome de Kallmann : Un trouble génétique rare qui entraîne un retard ou une absence de la puberté, associé à une aménorrhée.
- Hyperprolactinémie : Des niveaux élevés de prolactine (souvent dus à des troubles de l'hypophyse) peuvent interférer avec le cycle menstruel.
- Endométriose : Bien que plus souvent associée à des règles douloureuses et abondantes, elle peut aussi entraîner une aménorrhée dans certains cas.
- Maladies chroniques : Des conditions comme le diabète de type 1, des troubles rénaux ou des maladies auto-immunes peuvent aussi perturber le cycle menstruel.
- Ménopause précoce : La fin naturelle des menstruations avant 40 ans, souvent causée par des facteurs génétiques ou des traitements médicaux.
- Médicaments : Certains médicaments, comme les antipsychotiques ou les contraceptifs hormonaux, peuvent influencer les règles.
- Obésité ou excès de poids : Les femmes en surpoids peuvent éprouver des troubles hormonaux qui peuvent entraîner une aménorrhée.
- Hypopituitarisme : Une production insuffisante d'hormones par l'hypophyse peut entraîner l'absence de règles.
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L'alopécie, ou chute de cheveux et de poils, peut être causée par diverses maladies et conditions médicales. Voici une liste des principales causes possibles :
- Alopécie androgénétique (calvitie commune) : La forme la plus fréquente de perte de cheveux, généralement liée à des facteurs génétiques et hormonaux, affectant souvent les hommes (calvitie masculine) et les femmes.
- Alopécie areata : Une maladie auto-immune où le système immunitaire attaque les follicules pileux, provoquant une perte de cheveux par plaques sur le cuir chevelu ou d'autres zones du corps.
- Hypothyroïdie : Un dysfonctionnement de la glande thyroïde, où une production insuffisante d'hormones thyroïdiennes peut entraîner la chute des cheveux.
- Hyperthyroïdie : Une surproduction d'hormones thyroïdiennes peut également provoquer la chute de cheveux.
- Carences nutritionnelles :
- Carence en fer (anémie ferriprive) : Un manque de fer dans le corps peut entraîner une perte de cheveux.
- Carence en vitamine D : Cette carence peut affecter la santé des cheveux et contribuer à la chute des cheveux.
- Carence en vitamine B12 : Un déficit en vitamine B12 peut entraîner une perte de cheveux et une mauvaise santé capillaire.
- Carence en protéines : Les cheveux sont composés principalement de kératine, et une alimentation insuffisante en protéines peut entraîner une perte de cheveux.
- Stress physique ou émotionnel : Le stress intense, les traumatismes physiques ou émotionnels peuvent provoquer une chute temporaire de cheveux, connue sous le nom d'effluvium télogène.
- Syndrome des ovaires polykystiques (SOPK) : Un déséquilibre hormonal associé au SOPK peut entraîner une alopécie, particulièrement une perte de cheveux sur le cuir chevelu.
- Pélade : Une autre forme d'alopécie auto-immune où le système immunitaire attaque les follicules pileux, souvent déclenchée par le stress ou des facteurs génétiques.
- Médicaments :
- Chimiothérapie : L'un des effets secondaires les plus connus, la chimiothérapie entraîne une perte de cheveux généralisée.
- Médicaments contre la tension artérielle : Certains bêta-bloquants et médicaments antihypertenseurs peuvent provoquer la chute des cheveux.
- Antidépresseurs, anticoagulants, et autres médicaments : Certains médicaments peuvent entraîner une perte de cheveux comme effet secondaire.
- Lupus érythémateux systémique (LES) : Cette maladie auto-immune peut causer la perte de cheveux, souvent par des lésions sur le cuir chevelu.
- Psoriasis du cuir chevelu : Une maladie de la peau qui peut entraîner la formation de plaques squameuses et de la perte de cheveux, souvent due aux démangeaisons et au grattage.
- Infections fongiques du cuir chevelu (teigne) : Des infections fongiques peuvent provoquer une chute de cheveux par zones, souvent accompagnée de démangeaisons et d'inflammation.
- Lichen plan : Une maladie inflammatoire de la peau et des muqueuses, y compris du cuir chevelu, qui peut entraîner une alopécie cicatricielle.
- Alopécie cicatricielle : Des affections comme le lupus ou les infections peuvent endommager les follicules pileux de manière permanente, entraînant une perte de cheveux irréversible.
- Maladies chroniques : Des conditions comme les maladies rénales, le diabète de type 1, et d'autres troubles chroniques peuvent affecter les cheveux et provoquer leur chute.
- Trichotillomanie : Un trouble psychologique dans lequel une personne ressent le besoin de s'arracher les cheveux, entraînant ainsi leur chute.
- Syndrome de Cushing : Un excès de cortisol, souvent dû à l'utilisation prolongée de corticostéroïdes, peut entraîner la perte de cheveux.
- Acrodermatite entéropathique : Une maladie génétique rare qui provoque des carences en zinc et peut entraîner une perte de cheveux.
Chaque cause de perte de cheveux nécessite une évaluation spécifique par un professionnel de santé pour déterminer la meilleure approche de traitement.
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Voici une liste de maladies et conditions qui peuvent être associées à des démangeaisons anales (prurit anal) :
- Hémorroïdes : Les hémorroïdes internes ou externes peuvent provoquer des démangeaisons autour de l'anus en raison de l'irritation ou de l'inflammation.
- Fissures anales : De petites déchirures de la peau autour de l'anus qui peuvent causer des démangeaisons, des douleurs et des saignements.
- Dermatite de contact : Irritation de la peau due à une réaction allergique ou à l'exposition à des substances comme des savons, des produits hygiéniques ou des lingettes parfumées.
- Infections fongiques (mycoses) : Des infections fongiques, comme celles causées par le champignon Candida, peuvent provoquer des démangeaisons.
- Infections parasitaires : Des parasites comme les oxyures peuvent provoquer des démangeaisons anales, surtout chez les enfants.
- Infections bactériennes : Certaines infections bactériennes peuvent entraîner une irritation ou des démangeaisons de la zone anale.
- Proctite : Inflammation de la muqueuse du rectum, souvent liée à des infections ou à des maladies inflammatoires de l'intestin (comme la colite ulcéreuse ou la maladie de Crohn).
- Prurit anal idiopathique : Une condition dans laquelle les démangeaisons anales se produisent sans cause apparente.
- Changements hormonaux : Parfois liés à des conditions hormonales, comme la grossesse ou la ménopause.
- Problèmes d'hygiène : Un excès ou un manque d'hygiène dans la région anale peut entraîner des démangeaisons.
- Maladies de la peau : Certaines affections cutanées, telles que le psoriasis, l'eczéma ou la dermatite atopique, peuvent affecter la région anale.
- Cancer anal : Bien que rare, un cancer de la région anale peut parfois entraîner des démangeaisons comme symptôme.
- Réactions médicamenteuses : Certains médicaments peuvent provoquer des démangeaisons anales comme effet secondaire.
- Lichen scléreux : Une maladie de la peau qui provoque des démangeaisons et des changements cutanés dans la région génitale et anale.
- Symptômes d'allergies alimentaires ou de sensibilités alimentaires : Dans certains cas, des allergies alimentaires peuvent provoquer des démangeaisons, y compris au niveau de la région anale.
Si ces symptômes persistent, il est important de consulter un professionnel de santé pour établir un diagnostic précis et recevoir un traitement approprié.
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L'anisocorie (ou pupilles inégales) désigne une condition dans laquelle les deux pupilles de l'œil ne sont pas de la même taille. Ce phénomène peut être bénin ou être le signe d'une affection sous-jacente. Plusieurs maladies et conditions peuvent causer l'anisocorie, allant de problèmes oculaires mineurs à des troubles neurologiques plus graves. Voici une liste des maladies et des causes potentielles associées à l'anisocorie :
1. Causes bénignes et physiologiques
- Anisocorie physiologique : Certaines personnes peuvent avoir naturellement des pupilles de tailles légèrement différentes sans qu'il y ait de maladie sous-jacente. Cela n'affecte généralement pas la vision ni la fonction oculaire.
2. Troubles oculaires
- Syndrome de Horner : Ce syndrome résulte d'une lésion des voies nerveuses sympathiques qui contrôlent la dilatation de la pupille. Il provoque une anisocorie où la pupille affectée est plus petite (miosis), souvent accompagnée d'une ptose (paupière tombante) et d'une anhidrose (perte de transpiration) du côté affecté.
- Trauma ou lésion de l'œil : Un traumatisme direct de l'œil ou de la région environnante peut entraîner une anisocorie due à des lésions de l'iris ou du muscle qui contrôle la dilatation et la contraction des pupilles.
- Infections oculaires : Des infections comme l'uvéite ou l'iridocyclite peuvent causer des modifications de la taille des pupilles. Une inflammation de l'iris peut entraîner une anisocorie, en particulier si elle affecte une pupille plus que l'autre.
- Mydriase pharmacologique : L'utilisation de médicaments, tels que les collyres pour traiter des affections oculaires ou des drogues (comme les amphétamines ou la cocaïne), peut provoquer la dilatation d'une pupille, entraînant ainsi de l'anisocorie.
- Syndrome d'Adie (pupille d'Adie) : Une affection bénigne où une pupille est plus grande et réagit lentement à la lumière. Cela peut être dû à une lésion du nerf parasympathique contrôlant la contraction de la pupille.
3. Causes neurologiques
- Accident vasculaire cérébral (AVC) : Un AVC, en particulier lorsqu'il touche les régions du cerveau qui contrôlent les réflexes pupillaires, peut entraîner une anisocorie. Cela se produit souvent lorsque l'AVC affecte les voies nerveuses du tronc cérébral.
- Hémorragie cérébrale : Les saignements dans le cerveau peuvent causer une pression intracrânienne accrue, ce qui peut affecter les nerfs responsables de la régulation de la taille des pupilles, entraînant ainsi une anisocorie.
- Tumeur cérébrale : Des tumeurs dans les zones du cerveau qui contrôlent les pupilles peuvent également provoquer des pupilles inégales en comprimant ou endommageant les structures nerveuses.
- Compression du nerf optique ou du nerf oculomoteur : Les lésions du nerf oculomoteur, responsable de la contraction de la pupille, peuvent entraîner une anisocorie. Cette situation peut résulter de traumatismes crâniens, de tumeurs, d'infections ou d'autres lésions nerveuses.
- Encéphalite : L'inflammation du cerveau due à une infection peut affecter les régions du tronc cérébral responsables de la régulation pupillaire.
4. Causes toxiques et médicamenteuses
- Toxicité par médicaments ou drogues : L'utilisation de certaines drogues, comme les stimulants, les hallucinogènes ou même les médicaments sur ordonnance (antidépresseurs, antipsychotiques), peut entraîner une anisocorie. Par exemple, la cocaïne provoque souvent une mydriase (dilatation de la pupille) et peut entraîner des pupilles inégales.
- Syndrome sérotoninergique : L'overdose de médicaments qui affectent le système sérotoninergique, comme certains antidépresseurs, peut entraîner une anisocorie, accompagnée de symptômes tels que des tremblements, de l'agitation et des troubles de la température corporelle.
5. Autres causes
- Migraine avec aura : Certaines personnes souffrant de migraines peuvent présenter de l'anisocorie avant ou pendant une crise de migraine, en raison de la réponse neurologique au mal de tête. Cela peut être lié à des changements temporaires dans la pression intracrânienne ou à des dysfonctionnements nerveux transitoires.
- Syndrome de Parinaud (Parinaud's Syndrome) : Ce syndrome rare affecte la région du tronc cérébral responsable du mouvement des yeux et de la régulation pupillaire. Il peut provoquer une anisocorie, souvent accompagnée de troubles de la vision tels que la paralysie du regard vertical.
Conclusion
L'anisocorie peut être le signe d'une pathologie bénigne ou d'une affection plus grave, comme un AVC ou une tumeur cérébrale. Elle peut résulter de nombreux facteurs, notamment des troubles nerveux, des infections, des traumatismes, des maladies médicamenteuses ou toxiques, et des anomalies physiologiques. En cas d'anisocorie apparente, il est essentiel de consulter un professionnel de santé pour déterminer la cause sous-jacente et recevoir un traitement approprié.